Les origines du coaching: part 2 Les fondements
Le coaching est réflexif car c’est une approche globale de la personnalité centrée sur la personne qui s’inscrit dans un processus de changement. C’est le « stade suprême de la formation […] (car) il ne se situe pas du côté du savoir mais du côté de la connaissance de soi » (A. foulard, 2007 « Se former au coaching« ).
Le coaching est « intégratif » (L. Buratti, V. Lenhardt, 2007 « Le Coaching« ) car il est un assemblage de divers concepts et méthodes issues de différents champs conceptuels tels que la spiritualité, la psychothérapie, la psychologie et l’épistémologie. C’est un « processus d’aide et de co-construction » qui relève à la fois
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de l’anthropologie universelle où l’individu est regardé comme un « tout » complexe et composé d’une multitude d’identité, tout à la fois sujet et objet en relation avec d’autres et un environnement.
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d’une approche dans laquelle le coach considère que le coaché dispose lui-même de compétences et de ressources pour mettre en œuvre des solutions où le coach ne se limite qu’à l’accompagner progressivement à naviguer dans la complexité et à transformer les freins en une source d’opportunités.
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D’une attitude à concevoir un terrain d’expérimentation et un circuit de confiance (espace, prise de recul, stimulation hors de la zone de confort) pour la personne puisse accomplir des progrès.
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Et, des aptitudes pour prendre en considération la potentialité de l’individu en accueillant le paradoxe de la demande formulée et cachée, en faisant émerger les talents de l ’autre et en dissimulant les siens et, en pratiquant les arts de l’écoute active, du questionnement et du feed-back
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