Personal Branding

1er Blog fr sur le Personal Branding - Marque personnelle et professionnelle

Menu
  • Fadhila Brahimi
  • FB-Associés
  • Blog Personal Branding
  • FadhiLive
  • FadhiLab

Contact

© 2020 Fadhila Brahimi All Rights Reserved
Mentions légales | Confidentialité

Construire un réseau social – Part 3 – Le commissionnement

Share

schlüssel übergabe maklerMettre en relation deux personnes : Est-ce une activité d’apporteur d’affaires ou de chasseur de têtes ?

Les échangent initiés par le biais des réseaux sociaux ne finissent pas de me surprendre et de m’inspirer.

Récemment, une personne me transfère par email les coordonnées d’un contact qui recherche des organismes de formation en France ayant pour développement géographique le Maghreb.

Cette personne accompagne son message d’une petite phrase qui en dit long… très long sur sa connaissance de la relation « gagnant-gagnant » : « je suis gentille, je ne te demande pas d’être apporteur d’affaires ». Vous l’avez compris cette personne me tutoie ; et pour cause j’ai passé de longues heures à l’aider pour définir son identité, ses valeurs…à lui donner des conseils….gratuitement !

Ce qui est étonnant dans tout cela  c’est  de penser que parce que l’on donne un nom et/ou un email et/ou un numéro de téléphone : on est un apporteur d’affaires, un chasseur de tête…une personne qui peut prétendre à une rémunération dans le cadre d’un réseau social !

Halte à la confusion totale !

Etre apporteur d’affaires ou chasseur de têtes, c’est un métier, une activité, une relation définie entre deux parties.

Qu’est-ce qu’un apporteur d’affaires ?

Au regard du droit des affaires : «L’apporteur doit garantir l’existence de l’apport : la chose doit exister, être dans le commerce et être appréciable en argent. ».

Sur le site de la Place des réseaux vous trouverez un artcile très bien écrit sur le sujet qui va même jusqu’à faire la distinction entre le rapporteur d’affaires et l’agent commercial.

En somme être apporteur d’affaires ou chasseur de têtes c’est procéder à :

  • Une identification parfaite des attentes, des services, des conditions financières et contractuelles…. (Ciblage)
  • Un travail de préparation, de prospection et de négociation (investissement)
  • Une formalisation contractuelle de la fonction de « chasseur », « d’apporteur d’affaires », de l’attendu, des engagements financiers… (Lien juridique)
  • Un accompagnement, un apport concret d’affaires (Un apport appréciable)

Aussi lorsqu‘on initie des relations basées sur du donnant-donnant /gagnant-gagnant ; on ne peut pas à la fois prétendre à recevoir des autres des conseils, des recommandations gratuitement et en même temps réclamer à ces mêmes personnes une rémunération sur un acte quelconque. Ou alors, on se positionne d’emblé dans une relation d’intermédiaire et on avance de suite la couleur.

J’avoue tout de même que les limites ne sont si évidentes. Et vous, qu’en pensez-vous ?

Share
  • Fadhila Brahimi
  • Juil 13, 2006
  • « Une enquête sur les réseaux sociaux – Université Lyon 3
  • Entreprendre, C'est Décider (2ème partie) »

Leave a Comment

Cliquez ici pour annuler la réponse.