De l’Art de la performance par le sport…à l’incompréhension des Vroum Vroum
Les Vroum Vroum du Mans, pour quelle(s) sensation’s) ?
En septembre 2005, lors de l’université annuelle de l’ICF France (International Coach Federation) j’ai assisté avec un immense plaisir à la conférence d’Alain GOUDSMET sur « l’art de la performance : Du résultat à l’exploit ». Ce fut pour moi un véritable éveil à la dimension sportive du management : de l’effort au résultat et de la performance à l’exploit. Le message le plus fort que j’en ai retenu :« ce n’est pas la technique qui fait la différence mais le développement de son potentiel intérieur ». L’occasion d’évoquer le rôle capital de l’intuition et du courage, du mental et des émotions.
Depuis, autant que possible j’essaye de regarder en tant qu’observateur (sic !) le sport en ayant en tête la grille d’analyse d’Alain GOUDSMET.
Oui mais quel sport ? – particulièrement ceux qui ne m’ont jamais attiré en tant et les autres, ceux que j’affectionne ou ceux pour lesquels je n’ai aucune sensibilité.
Raison pour laquelle ce week end, j’ai accepté d’aller aux 24h du Mans à la place du Prix d’Amérique (mon favoris). Ma mission première: Comprendre ce qui motive les personnes qui regardent avec autant de plaisir des courses auto. Et là ! Malheureusement, je n’ai pas compris. Je ne comprenais déjà pas ce qui pouvait être intéressant à regarder une course auto ou vélo à la TV mais sur place….c’est pire !
Quel intérêt ou quel apport a-t-on à regarder passer une horde de « Vroum Vroum » bruyante qui passe toutes les 30 secondes à une vitesse telle que l’on ne distingue ni l’écurie, ni le chauffeur, ni le numéro de la voiture ni de différence entre tous ces bolides sauf la couleur de la carrosserie.
Pourriez m’aider ?
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