Tout comme les appels téléphoniques, les emails, les sms, le microblog a aussi ses limites.
Twitter est un microblogging qui permet de publier des messages de 140 caractères (espaces compris) exportables sur de nombreuses plates-formes : facebook, plaxo, friendfeed, soup io, etc. [Ici une vidéo pour comprendre comment ça marche Twitter]
Ce qui permet en un seul clic de mettre à jour tous ses status et d’alimenter sa page personnelle avec des infos diverses et variées: partage de liens, humeur du jour,réaction, etc.
Résultat les tweets (messages twitter) peuvent être lus – lorsque votre profil est en mode public – par l’ensemble de votre réseau.
La contre partie:
- Des double/triple discussions. Ex. J’ai souvent des réponses à mes tweets sur Twitter, Facebook et plaxo en simultanée. Cependant, le fil des discussions est perçu dans sa totalité uniquement par moi et partiellement par les personnes qui sont en contact avec moi sur les autres réseaux mais majoritairement par les Twittos (profils twitter). De ce fait, les discussions hors Twitter sont pénalisées. Et pour les autres, vos réponses sont hors contexte.
- Les tweets sont reçus en doublon et plus par ceux qui sont en relation avec moi dans les différentes plates-formes. Ce qui doit les agacer. Mais me permet d’éviter la mise à jour de tous mes profils (gain de temps).
- L’inondation pour les autres. La facilité offerte pour retwitter les articles, photos, vidéos trouvés sur la toile; ainsi que la pratique du RT (retweet) pour diffuser les tweets de son réseau, etc. font qu’il est très facile d’inonder son réseau d’infos au risque d’être qualifier de bavarde (comme moi).
- Une addiction non partagée. La pratique de la conversation en ligne et de la publication en 140 caractères n’est pas la passion de tous les internautes.
Dans ce billet, je soulève plusieurs points à explorer : comment mettre à jour tous ses profils en un clic, partager les infos essentielles avec son réseau et permettre la discussion en ligne sans polluer tout son réseau ??? – Rien n’étant pas une solution 😉
Dans l’attente de vos réactions, voici des sondages:
1 Quel est votre niveau de saturation (seuil de tolérance) ?
Combien de Twittos (profil Twitter) acceptez vous de suivre ?
Pour suite au débat qui continue suite au premier sondage sur « Quel est le nombre de tweets supportable par pers./jr ? » ( si vous n’avez pas encore participé je vous invite à cliquer sur ce lien; 94 participants en moins de 24h).
2 Quel est votre seuil de tolérance quant au nombre de personnes que vous acceptez de suivre cad vos following.
3. Êtes vous twhirl ou TweetDeck ? – desktop client for the Twitter
4.Sur quel critère acceptez vous de suivre des profils ?- What are your decisive factor to follow a profile ?
5.Comment créer sa marque personnelle à partir de son profil Web? -Choix du nom pour son identité numérique
Un choix stratégique et cornélien: Sur quel nom il est préférable de construire son identité numérique sur le Web: un pseudo, son vrai nom, le nom de la marque que l’on représente…
Faut-il vraiment choisir ? – Avoir un profil unique ou plusieurs profils en fonction de ses publications et des plates formes – Afficher son vrai nom, en entier ou un pseudo, le nom de son entreprise ou encore le nom d’un personnage???
Une question pertinente qui revient assez souvent en ce moment. Mais qui avait déjà était posée sur ce blog en 2006 dans l’article « E marketing de soi : marque personnelle et visibilité« .
Avoir un nom d’origine étrangère en France est à la fois une bénédiction et un calvaire comme le soulignait si justement Gyutae Park, un blogueur américain d’origine coréenne: votre nom est repérable, souvent disponible sur les réseaux et vous permet de grimper très vite dans les premières pages des moteurs de recherche.
Cependant, il est aussi sujet à diverses transformations parfois par négligence ou erreur de frappe, parfois par mépris ou manque d’attention « c’est la même chose » – une phrase que connaissent bien les personnes qui ont un prénom qui « sort de l’ordinaire »- « Les autres » comme chantait Brel « ils disent comme ça … » fadila, fadéla, farida, fatila…et même « Frida ».
Et ce n’est pas sans importance comme j’ai pu le lire récemment dans un message envoyé par un professionnel des médias sociaux pour qui le fond semble être l’essentiel.
Le Nom est une composante essentielle de l’identité parce qu’il est Votre sésame, votre héritage, votre culture, votre histoire et votre future, etc. Alors si comme moi il vous arrive de commettre une erreur, évitez les « c’est pas grave » « c’est pas important »…: excusez vous et corrigez de suite.
L’absence de réaction est vécue comme un sentiment d’humiliation.
Cet item est valable pour les prénoms originaux et ceux qui ne s’ orthographient pas exactement comme les prénoms du calendrier Chrétien.
Avoir un nom commun très répandu est inversement une bénédiction car facilement mémorisable et son orthographe est suffisamment compréhensible phonétiquement pour être retranscrite à la perfection mais il confronte le détenteur à une multitude d’homonymes avec une nécessité accrue de travailler sur son référencement et sa différentiation.
Le pseudo (nom d’emprunt) peut être une réponse aux problématiques ci dessus évoquées. Des exemples historiques prouvent que c’est une pratique ancienne chez les artistes pour donner une touche plus « politiquement correcte », plus « poétique », plus « sonore ».
- Marguerite Yourcenar (anagramme) alias Marguerite Antoinette Jeanne Marie Ghislaine Conchita Saltimp Cleenewerck de Crayencour »;
- Jean Paul Sartre (contrepèterie) alias Jean Sol Partre;
- Johnny Hallyday (de son vrai nom Jean-Philippe Léo Smet)
Utile pour agir aussi dans l’anonymat: les journalistes dans les pays où la presse est opprimée, les blogueurs qui souhaitent protéger leur identité personnelle et jouer la carte du mystère comme Otto de chauffeur de buzz ou qui agissent pour le compte d’une communauté comme le Modérateur.
Il peut correspondre à votre petit nom, à une abréviation de votre prénom et de votre nom, à un symbole, etc. Votre profil web peut donc prendre diverses formes comme nous venons de le voir; d’autant qu’il est admis tant en droit civil qu’en droit de la propriété intellectuelle de faire valoir un pseudonyme sur sa carte d’identité, pour la signature de ses oeuvres et même pour ouvrir un compte bancaire. Qu’observe-t-on chez les Community Manager et les Personal Brand : le nom en entier, un pseudonyme, le nom d’une marque « service » ou « produit »…
Divers profils:
- Marque Personnelle
- Marque Entreprise
- Marque Projet
- Personnage historique ou héros
- Un média: type narration, news…
- Une mosaïque
Existe-t-il une règle?
A priori, non tout au moins pour le choix. En revanche, faire un Choix unique, cohérent et stratégique semble important:
- il convient d’en définir un et de s’y maintenir pour assurer de la cohérence et permettre à votre réseau de vous retrouver facilement
- Avant tout je vous conseille de vérifier sa disponibilité sur l’ensemble des réseaux
- Puis en fonction de votre positionnement (animateur de sa propre communauté ou pour le compte d’un Tiers), de votre projet, de votre cible et de votre marché, de la concurrence…de faire un choix stratégique
- Si vous optez pour la créativité: faites le choix de la symbolique. Notons par exemple que sur Twitter nous avons de manière explicite des profils portant le nom d’un personnage historique ou d’un Héro
- Et surtout: autant il n’est pas préconisé d’avoir différents profils sur les plates formes de networking (réseaux professionnels) autant rien ne vous empêche d’en avoir plusieurs sur les médias sociaux (slides share, Twitter, etc.)
- L’astuce star: être le premier et réserver son nom, pseudo, marque pour éviter l’usurpation d’identité
Les liens utiles:
Pour vérifier la disponibilité de votre pseudo, nom…: usernamecheck, NameChk, Et vous, avez vous différents profils ? Une autre vision que moi ? Si vous aviez à réviser vos choix, que feriez vous ? Suite à un échange avec des membres du réseau « Community Manager » sur Twitter j’ai eu l’idée de lancer ce sondage pour recueillir votre avis. Bien entendu vos commentaires sont ici les bienvenus.
6. Since you use twitter are you blogging/Depuis que vous utilisez twitter vous bloguez ?
7. Since you use twitter are you phoning/Depuis que vous utilisez twitter vous téléphonez ?
8.Quel chemin entreprenez-vous pour développer votre réseau ? Which way do you begin to develop your network?
Les réseaux sociaux professionnels ont longtemps été assignés au moyen de prolonger les relations Networks.
Est-ce toujours le cas ? – Je ne suis pas certaine que nous soyons toujours dans le même cas de figure. Depuis 2004, avec la multiplicité des points de contact Web (blog, micro blogging, multi médias,etc.); il me semble que nous sommes passés à un mouvement OnLine <–>OffLine très aléatoire. Qu’en pensez-vous?